Le tressage de la paille au travail occupait bon nombre de Semsaloises à la fin du XIXe siècle encore...

Nos archives comptent un carnet de contrôle, dans lequel un représentant de l'administration notait les quantités de tresses et leur qualité.

On peut y lire les noms des femmes tresseuses...

Sur cet extrait du cadastre de Semsales, de 1840, l'on peut distinguer les deux ponts distants d'une cinquantaine de mètres à peine, enjambant la Mortivue : l'ancien, couvert et en bois, prolongeant le chemin de la Cotze, ancienne rue principale du village, et le nouveau, construit par l'Etat, sur le tracé modifié de la route cantonale...

On peut aussi constater que la place principale du village
se trouvait alors devant l'ancienne église; elle était par ailleurs pavée.

Enfin, chacun pourra reconnaître l'ancien ruisseau qui traversait le village à partir de la tuilerie, en direction de la maison de Siméon Grand ( aujourd'hui L'Oasis), puis descendant parallèlement à la Mortivue, jusqu'à la Broye.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire